Qui fait la maline, rentre sans épine !!!

Ou plutôt qui font les malines….

Et oui, en ce dimanche électoral ensoleillé, nous nous sommes chargées d’une mission de la plus haute importance : récolter les pousses d’épine pour fabriquer la boisson éponyme si connue –et appréciée- en notre pays de caves.

Peu avant le déjeuner nous nous sommes donc attelées à cette tâche (il paraîtrait que l’épine, mal réveillée est moins agressive le matin) : nous voilà parties sur les hauteurs d’Artins à la recherche de la fameuse plante……

Et là petit hic : mais à quoi donc ressemble l’épine ?; et oui, rien ne ressemble plus à un buisson épineux….. qu’un buisson épineux.

Dans le doute, nous avons donc commencé par prendre en photo le paysage, puis les vaches et la vigne nouvellement feuillue mais ce n’était que reculer pour mieux sauter.

Nous voilà finalement devant les buissons à étudier les formes de feuilles, à faire des suppositions, …. Moult suppositions plus tard nous nous décidons pour de jeunes pousses toutes fraiches. Après une heure de cueillette intensive, fières de notre récolte et la faim se faisant sentir, nous rentrons avec notre butin, conscientes cependant qu’il est bien maigre (1OOg contre les 800g nécessaires à notre recette de potion magique).
Mais une fois rentrées à la commanderie le doute s’installe : avons-nous cueilli les bonnes pousses ?! Nous entamons donc des recherches sur Internet qui s’avèrent infructueuses : réponses peu précises, images montrant plusieurs types de plantes.

Le doute reste donc entier….

Affaire à suivre !

#Le vin d'épine